02/08/2023
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Avec une hausse significative des déplacements à vélo, la sécurité cycliste est au cœur de tous les développements territoriaux. Malgré cette préoccupation grandissante, on récence chaque année près de 4000 victimes de blessures à vélo lors d’accidents.

Alors, comment sécuriser les déplacements des cyclistes et éviter l’accident de vélo ?

 

Des usagers vulnérables lors des accidents de vélo

 

Que l’on soit en ville ou hors agglomération, il est primordial de prendre ses précautions et de bien s’équiper. En plus de cette organisation personnelle, les chemins empruntés eux-mêmes sont tout aussi importants pour sécuriser les cyclistes et éviter les dommages corporels.

En comparaison à un conducteur dans un véhicule moteur, l’usager à vélo restera toujours plus vulnérable en cas d’accident et les dommages particulièrement graves. Malgré un équipement adapté et une vigilance accrue, le risque de blessure lors d’un accident reste plus fréquent. Certains accrochages peuvent même être extrêmement dangereux et provoquer des préjudices corporels irréversibles au cycliste sur le long terme.

 

Les déplacements à la campagne plus dangereux que les mobilités urbaines

Contrairement aux idées préconçues, les déplacements cyclistes hors agglomération demeurent plus dangereux qu’en plein centre-ville. Le taux de mortalité est beaucoup plus élevé lors d’un accident en campagne et les dommages corporels et préjudices subis peuvent rapidement devenir létaux. Le cycliste est donc davantage en danger en dehors des zones urbaines lors de ses déplacements.

Une majorité des dangers pour le cycliste se situe donc en milieu périurbain, et non en plein cœur des villes. Une grande partie des accidents l’année passée se sont déroulés hors agglomération. Selon l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière, 244 cyclistes ont d’ailleurs perdu la vie sur les routes de France en 2022. Parmi eux, une seule victime a perdu la vie lors d’un déplacement à vélo à Paris cette même année.

 

En effet, la vitesse autorisée pour les voitures en dehors des villes étant plus élevée, l’impact avec un vélo est par conséquent plus dramatique. Mais cela n’est pas la seule raison de ce taux d’accidents plus élevé. Le manque d’aménagements cyclables et l’absence de visibilité sur les routes départementales et nationales y sont pour beaucoup.

 

Les accidents à vélo dus à un manque de visibilité

 

Grâce à l’engouement pour la pratique cycliste et l’importance apportée aux mobilités douces, la présence de risques sur le domaine cyclable diminue de plus en plus. Les principales zones accidentogènes sont mieux identifiées et les aménagements territoriaux sont adaptés à la pratique cycliste.

 

La tendance générale observée est que lorsque la pratique du vélo se développe dans un pays, le risque d’accident paradoxalement diminue. Ce phénomène, appelé « la sécurité par le nombre » prouve qu’en développant l’activité vélo, la probabilité d’accident de la route diminuera de plus en plus. Les cyclistes contribuent eux-mêmes, par leur nombre grandissant, à ralentir la circulation et diminuer les accidents de vélo.

 

Même si le trafic est apaisé grâce aux aménagements des pistes cyclables, les zones accidentogènes ne seront pas complètement éliminées.

 

3 accidents cyclistes sur 4 sont causés par une chute

Dangers et obstacles sur une piste cyclable

Cela peut paraître étonnant mais les principales sources responsables d’accident à vélo ne sont pas les conducteurs automobilistes. 70% des accidents à vélo sont des situations dans lesquelles le cycliste chute seul. Soit à la suite d’une tentative d’évitement d’usager ou après une collision avec un obstacle. Il peut s’agir d’un trottoir, d’un poteau ou quelconque objet de mobilier urbain.

Les chutes dues à une glissade sur une route mouillée par temps de pluie sont également communes et responsables de préjudice physique.

 

Le mauvais temps ou la mauvaise visibilité font partie d’une majorité des causes d’accidents cyclistes. C’est pourquoi aménager les pistes cyclables et voies vertes reste primordial dans le développement des mobilités douces et la sécurisation des victimes de la route.

 

 

 

Sécuriser les déplacements à vélo grâce à la photoluminescence

 

Afin d’améliorer le quotidien des usagers des mobilités douces, de nombreuses nouvelles pistes cyclables et voies vertes ont vu le jour. Certaines, déjà existantes, ont été aménagées pour faire progresser le confort des usagers et augmenter le niveau de sécurité de ces zones.

Malgré l’augmentation des aménagements et de la signalétique, une question importante se pose concernant la praticabilité du territoire cyclable de nuit.

Le manque de visibilité devient important dès la nuit tombée et le risque d’accident augmente. Les usagers cyclistes perdent leurs repères et ont du mal à anticiper les obstacles sur leurs trajets. L’accident cycliste peut malheureusement vite être inévitable et les dommages corporels préoccupants.

 

Le marquage LuminoKrom pour éviter les accidents à vélo de nuit

La peinture photoluminescente LuminoKrom® pour éviter les accidents de vélo la nuit

Lorsque l’éclairage public ne peut être envisagé, la photoluminescence s’impose comme la seule solution d’éclairage durable et autosuffisante. Notre marquage photoluminescent s’éclaire dès que la voie cyclable est plongée dans l’obscurité et accompagnera les cyclistes pendant près de 10 heures. La circulation nocturne sera facilitée et le trajet vélo ou piéton sera sécurisé.

LuminoKrom® marque les pistes cyclables et voies vertes en vue d'apporter de la visibilité aux usagers et donc d'anticiper les différents dangers et obstacles. L'accident de vélo sera donc évité.

 

Pour signaler un potelet, un panneau ou tout autre obstacle sur un chemin cyclable, choisissez la peinture phosphorescente LuminoKrom®.